Avoir une belle poitrine : les conseils du coach sportif

Une belle poitrine passe avant tout par un travail sur la posture. Il faut « redresser » les épaules, le buste. Donner de la tonicité et de la souplesse aux pectoraux, et raffermir les muscles du haut du dos, ainsi que les muscles qui soutiennent la colonne vertébrale.

 

Dans la pratique

 

Adoptez de bonnes habitudes au quotidien :

 

En marchant, portez le regard loin devant, le menton à l’horizontal.

 

Assise, évitez de coller la région lombaire au dossier, descendez les omoplates pour créer une légère ouverture au niveau de la poitrine. Les pieds doivent être bien à plat, écartés de la largeur du bassin. Le plus souvent possible, pensez à vous auto-grandir.

 

Interview du coach sportif

 

Est-il vraiment impossible de muscler les seins ?

 

Les seins ne possèdent pas de muscle. En revanche, ils sont « attachés » sur les pectoraux. C’est donc mieux d’avoir des pectoraux toniques pour donner aux seins une base ferme. Mais il est tout aussi important de travailler les fibres musculaires en longueur pour dégager le buste et donner cette allure élancée qui valorise la poitrine.

 

Un exemple d’exercice facile à faire tous les jours…

 

Les bras derrière la tête, attrapez les coudes avec les mains opposées (ou les avant-bras si vous manquez de souplesse), gardez le menton droit et la nuque dégagée. Maintenez cette position de 30 secondes à 1 minute. Recommencez plusieurs fois.

 

Quel(s) sport(s) pour dessiner la poitrine ?

 

La natation convient bien. Alternez deux exercices : une longueur en brasse coulée (sans creuser la région lombaire) pour raffermir les pectoraux, et une longueur en dos crawlé pour consolider le dos, redresser les épaules, et assouplir les pectoraux. Les « gyms » posturales (pilates, yoga…), la danse, qui font travailler le buste en souplesse, sont aussi à conseiller.

 

Pour pratiquer, il faut un soutien-gorge de sport ?

 

Indispensable ! Dès que l’on pratique un sport à impact comme la course, l’aérobic… Le sein doit bouger le moins possible pour éviter la distension de l’enveloppe cutanée et des ligaments suspenseurs.